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Atma Joie, Sergine Couillard, yoga

Sergine Couillard

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Le Sankya Yoga

Citation de l'encyclopédie Wikipédia
Le Sankhya Yoga se propose d’analyser rationnellement la réalité. De cette compréhension surgit la libération du cycle des renaissances Samsara, qui est souffrance (duhkha). Cette analyse de la réalité (c’est-à-dire non seulement le monde matériel, mais également son devenir) établit que de la rencontre, l’union entre le non-manifesté, unique, le pradhana ou mulaprakrti, la nature originelle ou matière primordiale10 et l’une des monades conscientes, le purusha (littéralement : "homme, mâle, personne") se déploie le monde phénoménal, la prakrti, en 23 autres principes (tattva) commençant par l’intellect (buddhi, littéralement : « l’éveil » aussi appelé mahat, le grand, parce qu’il a une dimension « cosmique »), d’où provient le principe d’individuation ou égo (ahamkara, littéralement : faiseur de moi), duquel provient une double création : la pensée (manas), les cinq facultés d’éveil (buddhindriya ou jnanendriya), c’est-à-dire les cinq sens, et les cinq facultés d’action (karmendriya), c’est-à-dire la parole, les mains, les pieds, l’anus et les organes génitaux ; d’autre part les cinq éléments subtils (tanmatra) qui ne sont pas spécifiques, c’est-à-dire perceptibles comme objets des sens, sauf pour les dieux et les yogis. Les cinq éléments subtils créent enfin les cinq éléments grossiers (mahabhuta), lesquels sont spécifiques, c’est-à-dire perceptibles comme objets des sens.

Les principes allant de l’éveil aux éléments subtils forment l’entité subtile qui transmigre de mort en naissance, une âme en quelque sorte, qui serait toutefois distincte de la monade consciente, du véritable sujet, qui ne peut jamais être objet. Cette entité est appelée « corps subtil » (suksmasarira) ou "phallus" (linga), mot par lequel on désigne en logique un signe caractéristique duquel on infère le porteur du signe, le "signifié" (ainsi la fumée est le signe de la présence du feu). L’éveil est également appelé "le grand" (mahat) parce que certaines écoles Saṃkhya le considèrent comme commun aux purusa.

Si ce n’est pas le cas, il est tout au moins antérieur au principe d’individuation, "le faiseur de moi" (ahamkara), et il est en ceci cosmique qu’il détermine la "création idéelle" (pratyayasarga), qui le positionne dans la création (voir plus bas dans "L’éthique du Samkhya"). C’est à la fois la force et la faiblesse du Samkhya que de présenter la création tant sur un plan psychologique que cosmologique. Il s’agit in fine d’expliquer aussi bien comment le monde, tant intérieur qu'extérieur se produit à la conscience, que comment le Karma (la loi de rétributions des actes lors des renaissances) s’organise, permet l’expérience (la jouissance, bhoga) aussi bien que la délivrance.

Un autre point particulier au Samkhya, est que la prakrti est constituée de trois gunas, trois fibres ou qualités appelées sattva, rajas et tamas, dont est tissé le monde. Celui-ci n’est pas simplement noir (tamas) ou blanc (sattva), il est aussi coloré, mouvant (rajas). Il n’est pas seulement agréable (sattva) ou désagréable (rajas), il est aussi déprimant (tamas), bien (sattva), mal (tamas) ou passionné (rajas).

Contrairement aux cinq autres darsana, le Samkhya classique ne repose pas sur un sutra, mais sur une karika, la Samkhyakarika. Comme les sutras, les karikas sont des textes très laconiques (toute répétition, chaque mot inutile sont considérés comme une faute) et mnémotechniques, quasiment incompréhensibles sans les commentaires qui les accompagnent. Les karikas, versifiées, sont toutefois plus littéraires et moins cryptiques. Au XVe siècle un Samkhyasutra sera écrit, visant à "védantiser" le Samkhya, védantisation qui s’était déjà amorcée au Xe siècle avec le commentaire : Samkhyatattvakaumudi de Vacaspati Misra.

Le samkhya classique systématique et canonisé n’est naturellement pas apparu soudain. Il s’est formé d’idées éparses, d’un mode de pensée et d’une recherche de la vérité qui l’a d’abord emmené sur des chemins théistes, décrits ci-dessous, pour développer une philosophie à l’épistémologie et la logique solide avant d’être assimilé de nouveau par diverses religions et philosophie, perdant par là même son autonomie.

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